Archives de la catégorie ‘2017’

Dernière course de l’année juste pour prendre l’aire et sortir de sa zone de confort :

Cross de Coupvray, le 26 novembre : 9,3km en 35min21 et une 7ème place.

Cross de Sucy, le 10 décembre : 9,1km en 34min33 et une nouvelle 7ème place.

Corrida de Houilles, le 31 décembre : 10 km en 35min34 et une 17ème place sur la course populaire.

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Une semaine tout juste après l’IRONMAN d’Italy me voilà en Vendée à l’Aiguillon sur Mer  pour participer à la coupe de France de duathlon et de triathlon avec mon club le RSC Champigny Triathlon.

Au programme : un duathlon par équipe le samedi matin (CAP 5km vélo 20km et CAP 2,5km) et en début d’après midi un triathlon par équipe ( Natation 750m, Vélo 20km et CAP 5km).

Sur le duathlon nous partons à 3 pour prendre la 17ème place sur 58 clubs.

Après une petite pause me voilà au départ du triathlon : à 200m de la sortie de l’eau me voilà pris de grosses crampes, je serre les dents pour rejoindre mon vélo, le but était de donner un coup de main à l’équipe sur le vélo.

Très rapidement sur la course à pied un point de côté commence à arriver, je lève donc le pied et laisse partir les copains.

Je finirais la course en roue libre. Nous terminons 42ème clubs sur 86.

Un super week end passé avec le club, vivement la prochaine saison…

En attendant les prochains duathlons et triathlons, il faut s’occuper donc samedi 21 Octobre une 6ème place sur 912 au trail nocturne de Chambéry, puis samedi 4 novembre après 60km j’abandonne sur le 100km route de Chambéry « la Ronde des Eléphants », une première expérience intéressante…

 

AVANT COURSE

Après ma fracture de fatigue au pied gauche début mai, fin juillet les voyants sont aux verts pour commencer ma préparation pour l’IRONMAN.

Petit tour sur le 70.3 de Vichy pour faire un petit point sur mon état de forme, le test est positif, puis j’enchaîne par 15 jours d’entraînement intensif.

Petit retour en Ile de France, la météo est plus que maussade, et me voilà avec une petite otite externe et un petit rhume.

Malgré cet état de forme peu encourageant, il est temps de prendre la direction de Cervia.

Veille de course les sensations sont vraiment pas bonnes : moteur bridé sur le vélo et malgré la combinaison j’ai froid dans l’eau.

Comme je dis souvent : « demain je ferai du mieux avec la forme du jour ».

3,8km de NATATION :

7h30 les PRO Hommes s’élancent, 7h45 c’est à notre tour, il y a quatre sas (<1h, 1h-1h10, 1h10-1h20 et >1h20) je me place dans le dernier tiers du sas <1h. Nous partons pour une première boucle de 2,2km, puis après une sortie à l’australienne nous repartons pour 1,6km. J’essaye de bien m’appliquer et finalement je remonte doucement les concurrents. Après un peu moins de 57 minutes il est temps de sortir.

1km de TRANSITION :

Une première partie dans le sable afin de traverser la plage encore 300m pour atteindre la tente et se changer avant d’attaquer 600 bon mètres afin de sortir avec son vélo. L’organisateur se vente d’avoir la transition la plus longue du monde, je confirme, le parc à vélo est interminable.

185km de VELO :

C’est parti pour un petit tour de vélo à travers les marées salants de Cervia qui nous mène au 45ème km à une petite bosse avec des passages entre 9 et 12% puis retour à Cervia par la même route.

Pendant les premiers kilomètres nous sommes accompagnés par un arbitre qui fait correctement respecter les distances entre les concurrents et n’hésite pas à sanctionner.  Je suis agréablement surpris autour de moi les distances sont bien respectées. Je suis un peu rapide sur le premier tour, à l’entame du deuxième tour je lève un peu le pied. Une douleur vive au ventre, je viens de me faire piquer à travers ma tri fonction par une guêpe. Au 135ème km au pied de la bosse je vois s’éloigner les deux concurrents qui m’accompagner depuis quelques km. Me voilà seul pour les 50 derniers km, un petit vent légèrement défavorable s’est levé. Après le dernier ravitaillement une deuxième petite bête vient m’embrasser sur la lèvre inférieure. Par chance la lèvre n’a pas trop gonflé. J’essaye de bien relancer et ne pas m’endormir sur un faux rythme. Au bout de 4h48 et un petit 185km de vélo me voilà de retour à Cervia.

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680m de TRANSITION :

Avant même de commencer le marathon un petit 700m pour déposer son vélo et récupérer ses chaussures de course à pied.

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42,2km de COURSE A PIED :

Un parcours sympa dans Cervia composé de 4 boucles, sur les ¾ du parcours nous sommes sous les arbres, au 5ème kilomètres un petit passage sympathique dans la forêt.

Je pars prudemment, le but est de faire une moyenne de 4min30 au kilomètre. Jusqu’au 13ème km je suis dans mes temps puis petit à petit une petite dérive s’installe.

Je fais de mon mieux, je n’arrive pas à accélérer, dans les dernier tours les cuisses commencent à se faire entendre.

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Finalement je franchis la ligne d’arrivée après 3h20 de course à pied, soit 10 bonnes minutes de plus que l’objectif.

TOTAL : 9h15, 41ème au scratch et 7ème M30-34.

Remarque : je peux mieux faire.

Rendez vous le week end prochain avec le RSC Champigny Triathlon sur la Coupe de France de Duathlon et Triathlon à l’Aiguillon sur mer.

En route pour l’Ironman Italie.

Publié: 17 septembre 2017 dans 2017

Après une fracture de fatigue au pied début mai, j’ai laissé mes Newton tranquilles pendant cinq longues semaines.

Puis j’ai repris petit à petit à courir avec comme premier test le 22 juillet la ½ final D3 de Triathlon Homme à Angers.

Plus de douleurs au pied, il reste plus qu’à s’entraîner, début août je m’inscrits donc sur l’Ironman 70.3 de Vichy en guise de préparation pour l’Ironman Italy le 23 Septembre.

Me voilà donc à Vichy fin Août, il fait très chaud comme tous les ans. Cette année le plateau est très relevé sur le 70.3.

Les consignes sont simples : prendre des repères, me faire plaisir et surtout ne pas trop forcer car je dois enchainer sur deux semaines d’entraînements en Savoie donc peu importe la place.

La natation sans combinaison se passe bien, parti avec des personnes un peu moins rapides je remonte des places, mentalement ça fait plaisir mais ça ne change pas mon temps natation.

Je sors de l’eau en 31min 54.

Me voilà parti pour 90 kilomètres avec comme but de rester raisonnable sur l’allure et de patienter.

 

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Je patiente pendant une heure environ 40 kilomètres, puis j’en ai marre de voir passer des trains de cyclistes respectant plus ou moins les distances réglementaires alors je décide de faire l’effort et de partir en m’assurant que personne ne se colle dans la roue.

Je suis toujours surpris de voir des gars avec des vélos super aérodynamiques et super chers qui se cachent dans les roues des autres. Je comprends pas l’intérêt. Pas contre ça permet de justifier le fait que tu as fait un super temps vélo : le gars il drafte pas il a juste un vélo super aérodynamique.

Après 2h18 je pose le vélo un peu agacé par le drafting.

C’est parti pour deux boucles dans Vichy, il commence à faire chaud, le but est surtout de finir le plus frais possible pour enchainer avec des bonnes semaines d’entraînements.

Au bout de 1h25 de course à pied je franchis la ligne d’arrivée, soit au total 4h21, 58ème place au scratch et 9ème M 30-34. L’objectif est atteint.

Maintenant nous partons deux semaines d’entraînement en Savoie.

Deux belles semaines d’entraînements, c’est toujours plus simple de s’entraîner dans un cadre sympathique et non dans la circulation de l’île de France.

Pour conclure ces 15 jours me voilà au départ de la dernière manche du Grand Prix de Duathlon de 2ème division à Evreux au côté de Francois, Romain, Maxime et Alexandre.

Un format de course bien éloigné du format de course que je prépare depuis quelques semaines.

Je prends le temps de bien m’échauffer car ça va partir très vite.

C’est parti je souffre un peu sur la première partie après 2,5km puis ça va un peu mieux je remonte quelques places avant de rentrer au parc à vélo en compagnie de Maxime, Francois et dans le groupe de devant.

C’est parti pour 4 tours de 5km, nous sommes un petit groupe, je passe du temps à l’avant du groupe pour essayer de remonter quelques places et garder Maxime au chaud pour qu’il fasse une belle 2ème course à pied.  Finalement nous reprenons seulement quelques gars mais impossible d’aller chercher le groupe de devant.

Je pose le vélo il ne reste plus que 2,5km, allez, il faut tout donner chaque place est bonne à prendre, Maxime ne semble pas au mieux. je franchis la ligne à la 49ème place.

Finalement nous terminons 14ème de la manche, nous restons malheureusement dans la zone relégable.

Maintenant, on se reconcentre sur l’Italie. Dossard 224 

 

Après trois jours d’entraînement en Savoie, j’avais décidé de terminer le week end avec une épreuve du Challenge Cyclo’Tour Rotor : La Chambérienne.

Au programme deux courses :

  •  samedi 29 juillet un parcours en Chartreuse, parcours raccourci par décision préfectorale seulement 85km et 2160 de D+ ;
  • dimanche 30 juillet un parcours dans le massif des Bauges, 125 km et 2190 de D+.

Afin d’être bien cuit pour ces deux jours de course, la veille nous partons faire une petite sortie à pied en montagne au final 9km et 900m de D+. Depuis ma fracture fatigue je n’avais pas couru en montagne, la descente fut rude. Et au final de belles courbatures dès le lendemain.

Samedi matin je descends difficilement les escaliers, mais dans quelques heures je suis sur le vélo pour monter trois fois le col du Granier.

09h15 le départ est lancé, je suis surpris ça roule fort et n’importe comment, nous voilà un peloton d’un peu plus de 200 coureurs entre 40 et 50 km/h en ville pour atteindre les premières rampes du Granier. Après une dizaine de kilomètres nous voilà enfin au pied du Granier et c’est parti pour une première ascension (passage à plus de 12%), je m’accroche et me demande comment je vais faire pour monter trois fois à ce rythme.

J’ai les jambes fatiguées de la sortie trail de la veille, sur la fin de la première montée je trouve mon rythme et remonte sur quelques concurrents, nous redescendons sur Chambéry pour recommencer l’ascension, je suis mieux. Cette deuxième ascension se passe mieux, maintenant nous redescendons sur saint Pierre d’Entremont. Je descends en m’appliquant pour ne pas perdre de temps. Je croise le groupe de tête impressionnant ils sont déjà sur le retour. Un peu avant Saint Pierre, demi-tour pour monter une dernière fois le Granier avant de basculer sur Chambéry. Je monte à mon rythme, puis je bascule et c’est parti pour 15km de descente, j’essaye de m’appliquer, la route est sèche et je descends bien. Rapidement la route devient détrempée, un orage vient de passer. Je me redresse, je suis pas à l’aise sur route mouillée. Finalement, je perds deux places dans la descente mais pas de chute. Je franchis la ligne d’arrivée, rincé, en 03h06 45ème sur 177 à 20min du premier.

Dimanche matin j’ai encore plus de courbatures en sortant du lit, j’ai les jambes raides, je descends les escaliers avec l’aide de la rambarde. Je me demande bien comment je vais pouvoir faire pour finir l’étape du jour 125 km :

  • Col des Prés, 1135m
  • Col de Leschaux, 897m
  • Col de la Clusaz, 1184m

09h00 le départ est donné, je me place mieux que la veille dans le peloton toujours aussi nerveux. Après une dizaine de kilomètres nous voilà sur les pentes du Col des Prés, je me mets doucement à mon rythme et finalement je me retrouve avec les mêmes coureurs que la veille. Nous basculons dans une descente rapide, petite pointe à 76,9 km/h sans forcer. Nous formons un petit peloton d’une dizaine de coureur (Anglais Allemand et Belge).

Le Col de Leschaux se monte bien, le but est de rester dans ce petit groupe afin de ne pas être isoler dans la vallée. Le vent se lève, je suis content d’avoir garder le contact avec ce petit groupe, je prends part aux différents relais. Ça roule bien au bout de deux heures de course j’ai l’impression que certains commencent à fatiguer, moi je reste à mon niveau de fatigue du départ, du coup je subis moins dans les relances. Avant de commencer l’ascension du col de la Clusaz nous essuyons un violant orage. Au pied du col nous voilà une dizaine de coureurs et c’est parti pour 14km d’ascension. Sur les premiers kilomètres deux coureurs s’échappent, je reste à mon rythme il y a encore une dizaine de kilomètre d’ascension. Rapidement je prends la tête du groupe et imprime mon rythme, suffisamment soutenu pour ne pas voir d’autres coureurs s’échapper.

Après avoir rattrapé deux ou trois coureurs, enfin le sommet nous basculons dans la descente à fond derrière la moto ouvreuse je me place en deuxième position derrière un allemand un peu tête brûlée. Arrivé au pied du col, il reste 5 à 6 km dans Chambéry, je décide d’attaquer, mais les gars recollent, pour ne rien regretter je roule à bloc avec dans ma roue le groupe de 10 qui m’a accompagné toute la journée. L’arrivée est proche je serre les dents je me dis qu’à cette vitesse environ 50km/h en ville, il sera difficile de me dépasser. À 200m de la ligne d’arrivée, un rond point puis un virage à 90° et le sprint est lancé je me bats jusqu’au bout et franchi la ligne premier ou deuxième du groupe, mais finalement je serai placé 4ème du groupe car ils ont fait le classement au moment de rendre la puce.

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Au final 125km en 4h10 classement sur le papier 30ème sur 154 à 23 minutes du premier.

Deux belles journées, qui me donne envie de recommencer dans de meilleurs conditions afin de pouvoir jouer un peu plus.

Bon maintenant je me concentre sur l’IRONMAN ITALY avec un petit passage à Vichy en guise de préparation.

Deux mois et demi après ma fracture de fatigue me voilà de retour sur le départ d’un triathlon : la ½ final D3 de Triathlon Homme à Angers.

Sans aucunes ambitions j’ai repris l’entrainement course à pied depuis trois semaines et j’ai encore quelques courbatures de ma première séance de piste depuis ma reprise.

Nous sommes 5 pour représenter le RSC Champigny Triathlon, une équipe toute jeune Thomas (U23), Theo (U23), Maxime (Cadet) Aurélien (Sénior) et moi.

15h le départ est donné dans la Maine sans combinaison, je me bats pour sortir de l’eau 105ème derrière Aurélien, Thomas et Maxime.

Une transition rapide et je saute sur le vélo, dans le premier kilomètre je remonte sur Maxime je l’attend légèrement le temps qu’il finisse de chausser pour faire la jonction avec le groupe qui se forme devant.

Nous remontons rapidement sur Thomas une petite poussette pour l’aider à tenir dans le groupe. Après 5km nous récupérons un groupe important dans lequel nous retrouvons Aurélien. J’anime à plusieurs reprises ce groupe mais rien à faire pas possible de s’échapper le vent est trop fort, ça roule plutôt bien est en restant devant ça dynamise un peu le groupe et ça me semble moins dangereux. De toute façon je compte pas vraiment sur ma course à pied, alors autant s’amuser sur le vélo. 

A 400m de la ligne d’arriver je fais un petit sprint, à un plus de 51km/h pour rentrer dans le parc à vélo sans encombre.

Je pose le vélo est c’est parti pour deux boucles de 2,5km avec deux petites montées par tour. Après à peine 200m j’aperçois mon numéro de dossard à la penalty box, bon pas le choix je dois purger ma peine, un arrêt de 10s sous la tente. La raison est encore mystérieuse… Finalement 10s ça parait long et en 10s il y a du monde qui passe.

Je finis la course comme je peux. C’est maxime qui franchit la ligne d’arrivée le premier en 1h02min39s (47ème) puis j’arrive 9 secondes derrières en 1h02min48s (51ème) et Aurélien en 1h07. Malheureusement Théo et Thomas n’ont pas pu finir la course. L’équipe termine 19ème sur 26.

Ce fut une très bonne journée avec l’ensemble de l’équipe, mes parents comme suporter, une belle organisation de la part de l’ASPTT Angers Triathlon et l’occasion de retrouver des amis triathletes de l’ouest de la France avec notamment la présence d’Endurance Shop Angers.

 

Et dimanche pour finir ce bon week end, une après midi et début de soirée en VIP sur l’arrivée du Tour de France… GENIAL!!!

Voilà suite à ma blessure j’ai dû annuler ma participation aux différents Xterra (Belgique, Suisse et France)

Afin de patienter, j’ai sorti le VTT.

Samedi 03 Juin, j’ai pris le départ de la Mythic Chrono Vélo Vert dans le massif du Vercors. Une course de VTT XC marathon de 73 km et un peu plus de 2300m de D+.

N’ayant pas de dossard prioritaire je pars dans le dernier tiers du peloton (180 vététistes ). Le parcours est composé principalement de single dans les bois, petit à petit, je remonte des places. Au 35ème kilomètres je tors légèrement ma patte de dérailleur plus possible de passer sur les plus grands pignons, ça pique dans les bosses.

Sur la fin du parcours je remonte encore des places, jusqu’aux derniers mètres je me bagarre avec un coureur du team La Forestière qui finalement aura le dernier mot. Je termine donc en 4h28 à la 20ème place sur 180 et 6ème master 1. Par chance nous sommes passé avant l’orage.

Je me suis régalé et cela m’a donné envie de participer au Roc des Alpes 15 jours après.

15 jours après me voilà de nouveau à la montagne et précisément à la Clusaz pour le départ du Roc des Alpes Marathon, 79,7km et 2950m de D+.

La nuit fut très courte à cause d’un retard de train.

8h c’est le départ, n’ayant toujours pas dossard prioritaire je pars au milieu du peloton. Sur les premiers kilomètres nous sommes sur une piste ce qui facilite les dépassements, je remonte facilement des places, me voilà dans le Top 30. Les kilomètres et les magnifiques paysages défilent, je suis en compagnie de deux autres coureurs avec qui nous discutons. Les descentes sur les pistes sont dangereuses, ça roule vite et ça chasse énormément dans les virages.

Je remonte à la 26ème place. Au 45ème km je m’arrête quelques secondes afin de faire le plein d’eau, malheureusement je perds mon bidon quelques minutes plus tard. Il reste 30km et une belle montée, il fait chaud ça va être compliqué.

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Nous remontons sur un groupe de coureur, nous attaquons la descente dans le but de les rattraper. Malheureusement je me fais surprendre dans une sortie de virage, ma roue avant glisse sur une gouttière et me voilà à terre. Ca brûle, je vois les gars filer, j’ai plus d’eau, j’ai la manette de frein déréglée. Bon maintenant il faut terminer la course comme je peux. Je termine la descente bridée, je perds deux places. Avant d’attaquer la dernière grosse difficulté un coureur me rattrape, nous avions roulé ensemble au départ, il connait le parcours et me fait bénéficier de ses conseils, très gentiment il me ravitaille et me donne un bidon d’eau. Je termine le course avec lui. Encore merci Jauffrey DAGUIN pour ton aide.

Je franchis la ligne d’arrivée en 4h59 à la 29ème place. À l’arrivée je suis attendu par le commissaire de l’UCI très embêté car je suis non licencié et je rentre dans les points UCI pour la qualification aux championnats du monde.

Pour information c’est le Champion d’Europe en titre qui gagne la course en 3h59, le dernier mettra pratiquement 10h pour boucler les 79,7 km.

 

 

Tour des 7 cols…

Publié: 31 mai 2017 dans 2017

Ne pouvant pas courir je profite donc de cette météo clémente pour rouler.
6h50 me voilà partie pour une belle journée sur mon vélo, avec 7 cols au programme :

Départ du Lac d’Aguebelette

1- Col du blanchet 590m : passage à 19% au niveau du village d’Ayn

2- Col de la Crussille 573m

3- Col de la Lattaz 754m

4- Col du Mont Tournier 851m

Puis petite traversée de plaine entre Yenne et Belley, en passant par les villages Nattages et Parves avec quelques passages à plus de 12%.
A Belley direction Ceyzérieu, puis Artemare, me voilà au pied du Grand Colombier.

A Virieu le Petit, je prends sur la droite et entame la partie la plus difficile, 2 km à 12% de moyenne, puis 1 km à 13.5% de moyenne et enfin 1 km à 14% de moyenne avec un passage à 19%.

IL reste encore 4 km avant d’arriver au sommet. Mi juillet le Tour de France passera par là, un beau spectacle en perspective.

5- Col du Grand Colombier 1501m

La route est barrée pour descendre sur Culoz, je descends donc sur Anglefort, je ne suis pas à une dizaine de kilomètre près.

De nouveau un peu de plaine le long du Rhône avec un léger vent de face direction Yenne et le pied du Relais du Chat

A 7 km du col la route tourne sur la gauche, sur les 4 derniers km la pente varie entre 10 et 15%

6- Col du Relais du Chat 1504m

Descente sur le Bourget du Lac, puis la Motte Servolex

7- Col de l’Epine 987m

Bilan :

De supers paysages et pratiquement pas de voiture.

1 col +2col +3col +4col +5col +6col +7col = 4680m de dénivelé positif

188 km

8h12 sur la selle

8 Bidons de H4 et quelques barres, bananes et biscuits

Après une première consultation, une radio, un IRM et une seconde consultation à l’INSEP, la conclusion est claire : fracture de fatigue nette au niveau du 3ème métatarse du pied gauche.

Première partie de saison terminée…

Samedi 6 mai direction Bordeaux pour prendre le départ du Triathlon longue distance de Lacanau.

La météo est agitée sur la France : du vent, des orages et des températures plutôt fraiches.

Nous passons une nuit agitée dans un formule 1 en périphérie de Bordeaux (Voisins bruyants, orage et alarme incendie pour terminer la nuit…).

10h nous sommes un peu plus de 600 à prendre le départ, pour une boucle de 1,9km de natation dans le lac de Lacanau. Le ciel est nuageux et le vent est soutenu.

L’eau est plutôt fraîche les premières sensations ne sont pas très bonnes. Je suis patient, j’ai pas très chaud et j’attends avec hâte de sortir de l’eau.

Après 30min me voilà enfin dans le parc à vélo, je suis 41ème.

Une transition rapide et je saute sur le vélo, je remonte doucement des places. Certains essayent de s’accrocher. Le vent est toujours aussi soutenu, après une heure de course un peu plus de 41km de parcouru. Au 60 ème kilomètre me voilà 4ème.

Je pose le vélo 4ème après 81,7km en 2h01.

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Depuis une quinzaine de jour, j’avais une douleur vive dans le pied gauche, m’empêchant de pousser avec la jambe gauche.

Je pars dans l’espoir que cette douleur ne se réveille pas.

Après une première boucle de 7km la douleur s’installe doucement, lors de la deuxième boucle la douleur et de plus en plus importante.

À la fin de la deuxième boucle au 14ème kilomètre j’ai du mal à poser le pied à terre. J’ai terriblement mal au pied j’ai l’impression d’avoir le pied cassé. Je suis donc contraint à abandonner. Je consulte l’ostéopathe de la course, nous partons sur une contracture avec pincement de nerfs.

Mais la douleur vive a persisté, le pied a gonflé. Après une consultation à l’Insep cela ressemble plus à une fracture de fatigue au niveau de l’os métatarsien…confirmation lors de l’IRM de la semaine prochaine.

Après DNF (Did Not Finish) sur le Triathlon L de Lacanau c’est DNS (Did Not Start) sur les Championnats de France FCD de Triathlon avec l’ASAPP Triathlon.

 

Après deux manches de Grand Prix de D2 en duathlon direction Courchevel pour prendre le départ d’un triathlon unique.

Au menu de cette épreuve :

13,9km de vélo et 930m de dénivelé positif ;

6,3km de Trail et 180m de dénivelé positif ;

4,8km de ski d’alpinisme et 950m de dénivelé positif.

 

Une épreuve qui peut se courir en solo ou en trio.

Comme tous les ans le plateau est relevé avec la présence de quelques noms aux palmarès sympathiques:

En ski d’alpinisme, Willian Bon Mardion, Xavier Gachet, Yoann Sert, Florent Perrier...

En Xterra, Nicolas Lebrun

En Trail, Molliet Clément

En triathlon, Cedric Fleureton

En aviron, Jean Christophe Bette

Un beau parcours, un site sympa (Courchevel) et une météo clémente, à 10h le départ est donné.

Dès les premiers mètres j’essaye de me placer derrière Nicolas Lebrun, l’an dernier je n’avais fait que 30s de plus sur le vélo. Après seulement 3km j’ai du mal à suivre, je laisse donc filer et je me mets à mon rythme.

Je pose donc le vélo avec 2min de plus que l’année dernière.

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Maintenant c’est parti pour le trail, le départ est dur, la neige est mole.

Puis nous alternons entre chemin boueux et neige.

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Rapidement je reviens sur quelques concurrents, j’essaye de modérer mon allure car je sais que le ski va être dur. Le parcours est moins enneigé donc plus roulant je met donc 3min de moins qu’en 2016.

Après une transition un peu loupée je me trompe de couloir il est temps de chausser les skis.

Il reste plus que 950m de dénivelé. Je pars plutôt prudemment. À la moitié de la montée je suis rincé, j’ai l’impression d’être scotché sur place dans les murs, j’ai plus grand chose dans les bras ni dans les jambes.

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Il fait chaud, avant d’attaquer les dernières pentes raides je me ravitaille un peu : un gel accompagné de plusieurs gorgées d’hydrenergy. Bon maintenant il faut terminer, chaque pas me rapproche de l’arrivée.

Comme l’année dernière je gravis difficilement les derniers mètres. Le réservoir vide,je franchis la ligne d’arrivée en 2h20 soit 6min de mieux que l’année passée et 18ème sur 199 en solo.

Une belle épreuve qui ne pardonne pas si tu pars trop vite.

Après une 14ème place sur 16 équipes lors de la première étape à Paillencourt  il y a 15 jours, maintenant direction Parthenay avec pour objectif sortir de la zone rouge.

Les trois dernières équipes redescendent en D3.

Météo : estivale

Organisation : rodé et à la hauteur de l’événement

Équipe : Red Star Club Champigny Romain, Alex, Francois, Gwen et Nico

Parcours 1ère course à pied : 2×2.5km alternant chemin, goudron et bosses

Parcours vélo : 5x4km sinueux avec une belle bosse

Parcours 2ème course à pied : 2.5km alternant chemin, goudron et bosses

En conclusion un parcours exigeant mais ludique.

10h50 le départ est donné, les fauves sont lâchés, afin de ne pas répéter l’erreur de Paillencourt, je ne pars pas trop vite sur les premiers kilomètres à pied.

Je rentre dans le parc à vélo dans le 3ème groupe au tour de la 35ème place.

Dès le premier kilomètre nous attaquons la bosse, le but est de faire l’effort afin de remonté rapidement vers l’avant de la course. Petit à petit je remonte dans le groupe de tête. Nous sommes une trentaine de coureurs. Je reste à l’avant du groupe afin d’essayer de contrôler les éventuelles échappées et de dynamiser le groupe pour ne pas nous faire reprendre par le deuxième groupe.

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À deux tours de l’arrivée deux coureurs d’endurance 72 arrivent à s’échapper. Ils compteront une vingtaines de secondes d’avance sur notre groupe.

En posant le vélo nous avons 1min30 d’avance sur le deuxième groupe.

Il ne reste plus que 2.5km, ça peut paraitre très court seulement 8min43s c’est très long et il peut se passer tellement de chose. 25 concurrents passeront devant moi un par un.

Je termine donc 31ème.

Bilan:

Un bon résultats de l’équipe, nous terminons 11ème de l’étape et nous remontons à la 12ème place sur 16 équipes.

Un bon apprentissage, et des leçons à tirer pour la prochaine fois, j’aurais du lever un peu le pied une fois dans le groupe de tête.

Maintenant vivement le week end prochain, on rechausse les skis sur le DYNASTAR X3…

Après une coupe de France de ski d’Alpinisme le week-end dernier, je range les skis et je sors mes chaussures de course à pied et mon supersix evo révisé par Culture Vélo Nantes.

Cette année c’est une première, le RS Champigny Triathlon est en deuxième division de duathlon chez les hommes et en première division chez les femmes.

Dimanche c’était la première manche de grand prix à Paillencourt.

Un format court : 5km de course à pied sinueux avec de petites montées, puis 20km de vélo légèrement venteux et enfin 2.5km à pied.

09h00 c’est parti, nous sommes en dernière ligne, ca part vite je remonte doucement mais après 2.5km c’est la panne sèche.

Bon je suis parti probablement trop vite, il me reste 2.5km avant de grimper sur mon vélo.

Je suis 4ème de l’équipe c’est le classement des trois premiers qui compte. Nous voilà parti pour 4 tours de 5 km. Après 5km de vélo me voilà dans le groupe d’Alex et Francois, je décide donc de rouler pour les préserver. Sur la fin du parcours je me fais un peu surprendre j’étais persuadé qu’il restait encore un tour. Malheureusement Francois chute est termine dans l’ambulance.

J’arrive dans l’aire de transition en compagnie d’Alex nous nous gênons un peu.

Puis c’est parti pour 2.5km à pied, il reste plus qu’à tout donner.

Au final nous terminons 14ème en équipe.

Une super ambiance au sein de l’équipe et avec l’équipe féminine.

Rendez vous le 9 avril à Parthenay, puis je ressors les skis pour une dernière fois pour le Dynastar X3 à Courchevel.

Après quelques courses de montées sèches, je voulais absolument, avant l’été, tester une course complète de ski alpinisme avec au menu : arêtes, couloirs, grandes pentes… Tout l’attirail d’une vraie course de montagne.

J’ai donc choisi de prendre le départ de la Coupe de France Doucy-Cîmes.

Samedi 18 mars direction Valmorel pour prendre le départ à 9h15, d’un parcours de 1800 m de dénivelé positif. Avant le départ, il faut s’assurer d’avoir l’ensemble du matériel obligatoire. Le matériel doit respecter un poids minimum, pas de problème pour mes chaussures elles font chacune 700g de plus que le poids minimum. Pas dans la liste du matériel obligatoire mais de la boisson H4 est fortement conseillée.

1ère montée : +110m Col du Collet, un bon échauffement ça part pas trop vite je suis au milieu du groupe.

1er dépotage : n’ayant pas vraiment d’automatismes, je me mélange un peu les pinceaux, je déchire mon dossard en arrachant ma première peau. Je perds plusieurs places. vidéo

1ère descente : je réfléchis pas trop, le style n’est pas là mais ça semble efficace.

1er rempotage : toujours pas d’automatisme, les concurrents filent à côté de moi.

2ème montée : + 780m Pointe du Niélard,  sur la première partie je remonte doucement les personnes qui m’ont doublées lors des manips, la deuxième partie est plus compliquée, c’est de plus en plus raide, les virages et les fameuses conversions s’enchaînent. Je glisse à plusieurs reprises dans mes conversions (il y a un peu de travail à prévoir). Je me fais rattraper, et je ne veux surtout pas gêner les autres concurrents. Après de nombreuses conversions nous voilà sur une petite zone plate en bas de la pointe du Niélard, maintenant les skis dans le dos, les bâtons dans une main, la longe et les mousquetons dans l’autre. Ça bouchonne un peu mais ça laisse le temps de récupérer un peu, quelques passages sur des rochers, on attrape des prises comme l’on peut. Nous redescendons de quelques mètres avant de rechausser les skis sur une mini plateforme.

2ème descente : ça commence par une belle marche et quelques rochers, pas trop le temps de réfléchir, il faut se lancer. Je descends comme je peux, j’ai hâte d’être en bas. Vidéo

2ème rempotage : Amandine est là pour m’encourager, je lui fais part que c’est pas un parcours d’amateur… Je suis un peu plus rapide que sur la première manip.

3ème montée : +220 m, rapidement nous sommes repartis pour plusieurs conversions, j’essaye de m’appliquer.

2ème dépotage : je commence à trouver mes marques

4ème descente : je me sens pas mal, mais j’ai une boucle de chaussure qui s’est ouverte je fais donc toute la descente avec la chaussure droite desserrée.

3ème rempotage : je gagne un peu en efficacité.

4ème montée : + 500m Pointe du Mottet, elle commence gentiment puis nous attaquons des passages plus raides avec ces fameuses conversions. Le brouillard c’est levé, il fait tout blanc, je commence à avoir un genre de mal de mer avec une petite envie de vomir. La sueur me coule dans les yeux et me fait pleurer. La fatigue commence à sérieusement se faire sentir, j’essaye d’être efficace. Arrivée à quelques mètres du sommet nous déchaussons et ski dans le dos nous atteignons la Pointe du Mottet à 2592m.

5ème descente : le départ est très raide avec une visibilité très réduite, dérapage le long des rochers puis un virage et je chute. Par chance juste une glissade et je ne perds pas de ski, heureusement car là c’était raide et avec cette visibilité impossible de déterminer où j’aurais pu atterrir. La descente est longue sur tous types de neige, la visibilité ne permet pas de voir les bosses, je suis à plusieurs fois surpris et me retrouve dans la neige. Nous terminons par slalomer à travers les arbustes. Je suis rincé.

5ème montée : +130m une dernière petite montée pour enfin franchir la ligne d’arrivée. Nous sommes attendu par un arbitre qui contrôle l’ensemble du matériel.

Au final je boucle le parcours en 2h49 pour Yoan SERT il lui faut 1h50. Je suis 65ème sur 116 partants.

Je suis rincé mais tellement content de finir ma première course de ski alpinisme. J’ai pris conscience de la difficulté et de la technicité de ces épreuves.

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Je suis admiratif devant les personnes qui pratiquent régulièrement cette discipline.

J’ai quelques points à travailler avant la prochaine saison (dépotage, rempotage et conversion).

Maintenant place au duathlon avec la première manche de deuxième division de duathlon avec le RSC Champigny Triathlon.

Vidéo de la course

 

 

Open National la Ballavaude

Publié: 1 mars 2017 dans 2017

Une course de ski d’alpinisme avec 500m de dénivelé positif et 350m de négatif, comptant pour le classement national.ballavaude2

Afin d’éviter les embouteillages du chassé croisé, nous voilà dans la petite station d‘Hirmentaz Bellevaux à 9h00 pour un départ à 17h30.

Sous un grand soleil nous chaussons les skis afin de découvrir le domaine. Le soleil est radieux et le manteau neigeux à bien fondu.

Après une bonne journée au soleil et sur les skis, il est temps de prendre le départ de la course. Malheureusement l’organisateur prend la décision d’annuler la descente car la neige est de mauvaise qualité, l’arrivée se fera donc au sommet de la station.

17h30 nous sommes 117 à nous élancer, ça frotte un peu et ça part vite, puis rapidement un premier mur afin de prendre son rythme. En haut de se premier mur l’ambiance est super bonne de nombreux spectateurs…

Je m’accroche pour rester dans les skis de celui qui me précède. Dans la dernière difficulté je regagne quelques places.

Je franchis la ligne après 528m de dénivelé positif pour 2,8km en 27min11s à la 31ème place.

Le lendemain direction le Beaufortain pour une sortie, le Planey, le Lac Seston, le Col de la Forclaz et le Grand Mont.grand-mont

 

10km de Vincennes : MAUSSADE…

Publié: 5 février 2017 dans 2017

10km-de-vincennes-20171Ce matin pas de ski au pied, c’était le 10km de Vincennes, une matinée MAUSSADE :

La météo : 4°c+pluie+un peu de vent

Le chrono : 34min49s

Bilan, une bonne séance de rythme; mais loin de l’objectif qui était de moins de 34min.

Nocturne de Méribel du Plan des Mains 2017

Publié: 4 février 2017 dans 2017

Mardi 31 décembre, après une séance de course pied il est temps de prendre la route pour Méribel.nocturne-de-meribel

Petite reconnaissance du parcours, un enneigement médiocre, une première partie de parcours avec peu de dénivelé, il va falloir bien glisser, puis un dernier kilomètre plus raide : soit 4km et 450m de dénivelé positif. La météo est maussade entre la pluie et la neige.

Je retire mon dossard c’est le numéro 4. Dossard 4

A 18h30 le départ est donné, nous sommes seulement 22 à nous élancer. Ca par vite, j’ai pas encore la technique pour sprinter les skis au pied. Rapidement je me met à mon rythme et remonte quelques places. Je m’applique pour bien skier et dès que je peux je trottine les skis aux pieds, sans me mettre trop dans le rouge car la fin du parcours est plus difficile.

Je lâche rien jusqu’à la ligne d’arrivée, que je franchis à la 4ème place.resultats-nocturne-du-plan-des-mains-2017

Ravitaillement très convivial au restaurant du Plan des Mains, l’ambiance est excellente, l’organisation et les participants sont particulièrement sympa.

10km-de-paris-14emeCe matin alors que le thermomètre était toujours dans le négatif j’ai pris le départ du 10km du 14ème.

Météo : trop fraîche

Tenue : en long haut et bas

Parcours : 2 boucles avec un faux plat montant sur les deux derniers kilomètres et quelques relances

Chrono : 35min14seconde

Classement  : 28ème sur 1768

En conclusion une bonne séance de faite pour préparer le 10km de Vincennes dans 15 jours.